‘Le saut de l’Ange’ – huile sur toile – XVIIIᵉ siècle – Italie – [ME102] – Intitulée ‘Le saut de l’Ange’, cette huile sur toile peinte au XVIIIᵉ siècle en Italie se rattache à l’esthétique baroque. Le peintre joue sur les effets de lumière et les contrastes du clair obscur. La profondeur n’est pas uniquement basée sur des perspectives géométriques rigoureuses et des lignes droites. L’ impression de mouvement est restituée grâce aux gestes des personnages très expressifs, communiquant par le regard. Cette toile nous donne à voir et les efforts d’un amoureux transis pour séduire sa belle et la chute probable en arrière plan d’une silhouette au bord d’un gouffre. Tomber amoureux peut-il mener à tomber de haut ? Telle est la question que semble nous poser l’artiste, de façon allégorique.
‘Le saut de l’Ange’ – huile sur toile – XVIIIᵉ siècle – Italie – [ME102] – Intitulée ‘Le saut de l’Ange’, cette huile sur toile peinte au XVIIIᵉ siècle en Italie se rattache à l’esthétique baroque. Le peintre joue sur les effets de lumière et les contrastes du clair obscur. La profondeur n’est pas uniquement basée sur des perspectives géométriques rigoureuses et des lignes droites. L’ impression de mouvement est restituée grâce aux gestes des personnages très expressifs, communiquant par le regard. Cette toile nous donne à voir et les efforts d’un amoureux transis pour séduire sa belle et la chute probable en arrière plan d’une silhouette au bord d’un gouffre. Tomber amoureux peut-il mener à tomber de haut ? Telle est la question que semble nous poser l’artiste, de façon allégorique.

‘Le saut de l’Ange’ – huile sur toile – XVIIIᵉ siècle – Italie – [ME102]

Intitulée ‘Le saut de l’Ange’, cette huile sur toile peinte au XVIIIᵉ siècle en Italie se rattache à l’esthétique baroque. Le peintre joue sur les effets de lumière et les contrastes du clair obscur. La profondeur n’est pas uniquement basée sur des perspectives géométriques rigoureuses et des lignes droites. L’ impression de mouvement est restituée grâce aux gestes des personnages très expressifs, communiquant par le regard. Cette toile nous donne à voir et les efforts d’un amoureux transis pour séduire sa belle et la chute probable en arrière plan d’une silhouette au bord d’un gouffre. Tomber amoureux peut-il mener à tomber de haut ? Telle est la question que semble nous poser l’artiste, de façon allégorique.
Ne dit-on pas « tomber amoureux » ? Cette huile sur toile du XVIIIᵉ siècle italien semble jouer, si je puis dire, « sur les deux tableaux ». La chute vertigineuse, sentimentale ou fatale, se situant sur ce tableau et en premier plan, et en toile de fond.
Au premier plan, la scène bucolique se resserre autour d’un élan de séduction, une figure de la fameuse danse de l’amour. Sur un tonneau retourné et ce à l’abri des regards, en dehors du Domaine, un prétendant offre une collation – tranches de melon et verre de vin blanc – à une dulcinée qui semble se détourner poliment. Mais qui est cette autre femme, portant fièrement une panière de linge sur son chef, qui s’éclipse subrepticement, comme pour ne pas déranger ?
À l’arrière plan, l’approche en clair obscur de ce tableau laisse apparaître une motte féodale, hérissée de tours de garde, éclairée par un ciel qui semble se dégager. Pour autant, au bord du précipice, un arbre étrange évoque ouvertement la silhouette d’un être humain, les bras en croix, prêt à se jeter dans le vide.
Qui tombera amoureux, qui tombera de haut ? C’est tout le mystère de cette huile sur toile intitulée ‘Le Saut de l’Ange’, un plongeon qui, du haut d’un rocher ou du plus profond d’un cœur changeant, reste toujours hasardeux.

Dimensions :
Hauteur : 130 cm Largeur : 97 cm

Référence : [ME102]

Au premier plan, la scène bucolique se resserre autour d’un élan de séduction, une figure de la fameuse danse de l’amour. Sur un tonneau retourné et ce à l'abri des regards, en dehors du Domaine, un prétendant offre une collation – tranches de melon et verre de vin blanc – à une dulcinée qui semble se détourner poliment. Mais qui est cette autre femme, portant fièrement une panière de linge sur son chef, qui s’éclipse subrepticement, comme pour ne pas déranger ?
Au premier plan, la scène bucolique se resserre autour d’un élan de séduction, une figure de la fameuse danse de l’amour. Sur un tonneau retourné et ce à l'abri des regards, en dehors du Domaine, un prétendant offre une collation – tranches de melon et verre de vin blanc – à une dulcinée qui semble se détourner poliment. Mais qui est cette autre femme, portant fièrement une panière de linge sur son chef, qui s’éclipse subrepticement, comme pour ne pas déranger ?
À l’arrière plan, l’approche en clair obscur de ce tableau laisse apparaître une motte féodale, hérissée de tours de garde, éclairée par un ciel qui semble se dégager. Pour autant, au bord du précipice, un arbre étrange évoque ouvertement la silhouette d’un être humain, les bras en croix, prêt à se jeter dans le vide. Qui tombera amoureux, qui tombera de haut ? C’est tout le mystère de cette huile sur toile intitulée ‘Le Saut de l’Ange’, un plongeon qui, du haut d’un rocher ou du plus profond d’un cœur changeant, reste toujours hasardeux.
À l’arrière plan, l’approche en clair obscur de ce tableau laisse apparaître une motte féodale, hérissée de tours de garde, éclairée par un ciel qui semble se dégager. Pour autant, au bord du précipice, un arbre étrange évoque ouvertement la silhouette d’un être humain, les bras en croix, prêt à se jeter dans le vide. Qui tombera amoureux, qui tombera de haut ? C’est tout le mystère de cette huile sur toile intitulée ‘Le Saut de l’Ange’, un plongeon qui, du haut d’un rocher ou du plus profond d’un cœur changeant, reste toujours hasardeux.

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